A l’occasion de la Journée du digital, EY fait don d’un robot pédagogique pour les enfants malades

25 novembre 2017

A l’occasion de la Journée du digital, EY fait don d’un robot pédagogique pour les enfants malades

  • Grâce au succès de l’appel aux dons, EY peut remettre à Johann Schneider-Ammann, Conseiller fédéral et Ministre de l’éducation, un avatar destiné aux enfants malades
  • En tant que membre fondateur de digitalswitzerland, EY familiarise la population au thème de la chaîne de blocs (« blockchain ») à l’occasion de la Journée du digital
  • Sur un podium dressé dans la Gare centrale de Zurich, Marcel Stalder discute de la thématique « Smart City : efficience versus sphère privée »

En tant que membre fondateur de digitalswitzerland, EY est un partenaire actif de la première Journée du digital – aux côtés de plus de 40 autres entreprises et organisations suisses. Au cours de la journée d’aujourd’hui, une centaine de manifestations permettent aux Suisses de découvrir ce que la numérisation signifie concrètement. En quoi les nouveaux développements modifient-ils nos professions et notre comportement de mobilité ? Allons-nous bientôt être dirigés par des robots ? Est-ce que les machines deviennent de plus en plus intelligentes ? Ce sont, entre autres, de ces questions dont discutent des experts avec la population. « Nous nous trouvons dans une phase de transformation radicale du monde ancien au monde nouveau, numérisé. Les entreprises, la politique et la société doivent relever le même défi. L’ère numérique offre de grandes opportunités à tout le monde, à condition de savoir les exploiter. C’est précisément là l’idée de digitalswitzerland : encourager les initiatives innovantes et le dialogue pour que la Suisse puisse se maintenir au premier rang, y compris à l’ère du digital. EY s’est investie depuis la fondation, et nous sommes convaincus de l’importance et de la finalité de cette organisation dynamique et diversifiée », déclare Marcel Stalder, CEO d’EY en Suisse. Ayant décelé très tôt les signes du temps, la société d’audit et de conseil investit fortement dans la technologie et le personnel. Par différentes initiatives et nouveaux produits, EY démontre à la fois sa force d’innovation, son ouverture et son solide professionnalisme et se présente donc comme un partenaire fiable pour réussir à opérer cette mutation.

Ne plus manquer un jour d’école grâce à l’ami avatar

A l’occasion de la Journée du digital d’aujourd’hui, EY a lancé une campagne de dons. Par l’intermédiaire des réseaux sociaux, les citoyennes et citoyens pouvaient faire des dons – y compris en bitcoins – destinés au financement d’un avatar, un petit robot qui aide les enfants malades. Le projet de l’organisation Avatarion permet aux enfants de tout âge de suivre les cours en temps réel, dans la salle de classe, depuis leur lit d’hôpital. De cette façon, ils ne perdent rien du programme scolaire et restent en contact avec leurs camarades de classe. Au nom d’EY et des nombreux donateurs, Marcel Stalder a pu remettre cet après-midi un de ces avatars au conseiller fédéral et ministre de l’Education Johann Schneider Ammann. L’avatar souligne d’une part toute l’importance de l’éducation dans cette phase de mutation. D’autre part, le programme dédié aux robots pédagogiques est une belle preuve du fait que tout le monde profite de la numérisation, notamment les plus faibles de notre société.

L’importance de la chaîne de blocs comme technologie de l’avenir
Au stand d’EY, que les visiteurs de la Journée du digital trouveront au niveau de la thématique « Technologie et Innovation », dans la gare centrale de Zurich, EY livre un aperçu de la technologie de la chaîne de blocs. Exemple concret de cette technologie, le bancomat pour bitcoin attire bien entendu la curiosité de nombreux visiteurs. Avec l’aide de collaborateurs d’EY, ils peuvent ouvrir sur place leur propre porte-monnaie numérique (« digital wallet ») et immédiatement acheter des bitcoins au distributeur. La société d’audit et de conseil mise fortement sur la technologie de la chaîne de blocs et a adopté le bitcoin il y a un an. Depuis, les clients d’EY peuvent régler leurs factures en bitcoins ; un distributeur automatique de bitcoins en libre accès a été installé dans le hall d’entrée et a déjà enregistré plus d’un demi-million de transactions. Bien qu’il s’agisse d’un enjeu important, les cybermonnaies sont encore utilisées avec beaucoup de réserve au quotidien. Ce n’est pas le cas de la technologie de chaîne de blocs qui ne va pas seulement révolutionner les systèmes de paiement, mais aussi d’autres domaines d’activité et d’industries. Le potentiel de cette technologie est considérable, tous les experts sont d’accord sur ce point. EY n’est pas en reste : elle investit dans la technologie de la chaîne de blocs, développe ses propres solutions et peut déjà présenter plusieurs projets clients porteurs. « La technologie de la chaîne de blocs devient révolutionnaire surtout si on la combine aux contrats intelligents (« smart contracts ») – la logique d’affaires traduite en code informatique. Il est alors possible d’automatiser des processus et de les rendre « smart », ce qui les rend plus efficients et, comme l’exprime déjà le terme « smart », plus intelligents. La chaîne de blocs, en tant que système, se traduit par une sécurité accrue, une plus grande transparence et une diminution des coûts pour les tierces parties. En résumé, ces technologies vont entraîner une définition totalement nouvelle des processus métiers, des rôles, des fonctions et des modèles de recettes », déclare Isabella Brom, conseillère et cheffe de projet Blockchain chez EY.

La Suisse et des villes intelligentes (« smart cities »)

Les organisateurs de la Journée du digital veulent inciter la population au dialogue par le biais de tables rondes. Au restaurant Imagine, à la gare centrale de Zurich, plusieurs débats sur les répercussions de la numérisation se déroulent à cette occasion. Qu’advient-il de nos données de santé ? Comment voyagerons-nous à l’avenir ? Que signifie la numérisation pour les médias ? Y aura-t-il encore des professions en 2050 ? A la table ronde consacrée au thème « Smart City : efficience versus sphère privée », Marcel Stalder discute avec Susanne Ruoff de La Poste Suisse, Edy Portmann de l’Université de Fribourg et Alexandra Collum de la ville de Zurich. En comparaison internationale, la Suisse a un certain retard à rattraper mais des projets concrets ont maintenant vu le jour : le robot de la poste, par exemple, qui, dans une phase de tests, livre des colis aux clients. A cet égard, il est aussi particulièrement important que les entreprises, la politique et la société travaillent en étroite collaboration. Idées créatives de start-up et de nombreuses entreprises suisses, conditions-cadres politiques qui rendent possible les solutions intelligentes et enfin et surtout, participation de la société, c’est de tout cela que l’on a besoin. A cet égard, la gestion responsable des données, des besoins sociaux et des valeurs est une condition essentielle

 

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