Photo: Me Alessandro Brenci
Par Eugénie Rousak
Installée sur les collines lausannoises, Adrestia Legal est une étude globale, qui offre à sa clientèle son expertise dans tout domaine de droit. Créée il y a un an par l’avocat Alessandro Brenci, elle propose ses services aussi bien pour des conseils qu’en cas de litige. Maîtrisant six langues, le français, l’anglais, l’allemand, l’italien, l’espagnol et le portugais, le fondateur pratique dans toute la Suisse romande.
Docteur en droit, Alessandro Brenci a obtenu son brevet d’avocat à Lausanne en 2014. Après avoir passé quelques années en tant qu’associé dans une étude vaudoise, il a décidé de se lancer dans une aventure d’indépendance. « J’ai surtout une âme d’entrepreneur, j’avais besoin de laisser cours à ma liberté pour réaliser les nouveaux concepts que j’avais en tête », explique le fondateur avant de compléter : « L’une des choses qui m’animent en tant qu’avocat est d’être au cœur de la pratique. Pour être légitime auprès des entreprises et pouvoir les conseiller au plus juste, il me semblait naturel de passer par les mêmes étapes, notamment en créant ma propre société ».
L’atout majeur des études globales est leur pouvoir de réflexion et de conseil à 360 degrés, qui permet d’orienter complètement le client. Ainsi, que cela soit une question de droit civil (séparation, succession), de contrats (vente, bail, travail, assurance), de droit public (migration, circulation routière) ou encore une affaire pénale, une expérience polyvalente permet à Adrestia Legal de conseiller et d’assister complètement son client. « Je suis dernièrement intervenu dans des causes touchant à l’immobilier, au recouvrement de créances pour une entreprise, à l’obtention d’un permis de séjour ou à la défense d’un patient/assuré », complète-t-il. Pour être au cœur de la vie des entreprises, Adrestia Legal est membre de huit chambres de commerce.
Ces compétences multiples sont ancrées dans l’ADN d’Adrestia Legal et de son fondateur. L’humanisme étant au cœur de l’activité juridique, l’avocat se doit d’écouter son client et de comprendre ses intérêts, ses besoins et ses objectifs pour pouvoir l’accompagner dans son projet ou dans sa cause, peu importe le domaine du droit. « Pour être de haute qualité, le service au client doit impérativement être centré autour de ce dernier, autour de la recherche de solutions sur mesure, tout en étant économiquement efficace. Adrestia Legal suit constamment cette ligne directrice, ce qui implique que, par exemple, je me déplace chez le client et assure une constante présence en personne, par téléphone ou courriel. En contactant notre étude, le client parle directement à l’avocat responsable du dossier qui connaît sa situation. Cette présence se veut à la hauteur de la confiance exprimée par le client ! » précise Alessandro Brenci.
Généralement, le travail d’un avocat est rémunéré par provision : au fur et à mesure où elle est utilisée, elle se consume, nécessitant parfois un complément. Pour les personnes privées, il est également possible de bénéficier de l’assistance judiciaire, si tous les critères sont remplis. En ce qui concerne les entreprises, la principale problématique autour des frais d’avocat est leur imprévisibilité. « Pour permettre aux entreprises de budgétiser ces dépenses, Adrestia Legal propose un plan tarifaire : l’abonnement, analogue à un outsourcing juridique. Au début de la relation, l’entreprise et l’Étude fixent ensemble les besoins, la fréquence et la durée des interventions, par exemple deux heures par mois, puis déterminent le montant de l’abonnement mensuel », complète Alessandro Brenci.
En plus d’être un cabinet d’avocat, Adrestia Legal est attachée au mélange des connaissances. Ainsi, elle organise annuellement entre six et huit expositions d’art au sein de ses locaux. Allant au coup de cœur, Alessandro Brenci sélectionne les artistes pour ensuite accrocher leurs œuvres aux murs de la galerie pour le plus grand plaisir des clients et visiteurs. « Je suis passionné d’art et intéressé par les questions juridiques autour de ce monde. J’ai donc trouvé des locaux adaptés aussi bien à une étude qu’à une galerie pour plonger en pratique dans le monde de l’art, m’amenant ainsi à traiter des questions douanières, fiscales ou encore de vente », explique le fondateur. C’est également par passion que l’avocat s’est intéressé au droit du sport. Très actif dans la sphère du football, il intervient comme intermédiaire autorisé par les entités étatiques fédérales et cantonales, que ce soit pour un joueur ou pour un club.
« Pour aider, il faut comprendre et pour comprendre, il faut expérimenter. Savoir, c’est pouvoir ! » conclut-il.
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