Avec une économie en berne qui tarde à se relever, avec une globalisation qui met quotidiennement à mal nos entreprises européennes, avec une pléthore d’offres nouvelles qui nécessite une innovation systématique des portefeuilles de produits et de services, il devient urgent de se doter d’outils ad hoc permettant à nos PME de s’adapter pour survivre et perdurer.
L’informatique à ce potentiel d’innovation pour aider les entreprises de toutes tailles à faire plus avec moins. Par l’automatisation, par la standardisation, et par la consolidation des métiers et des techniques, l’informatique porte en son sein le gène du changement, de la compétitivité retrouvée.
Mais cette informatique-là reste encore l’apanage des grosses structures, de ces entreprises qui ont la capacité d’investir en temps, en argent, et en hommes pour mener à terme des projets souvent très complexes, qui ont du mal à être livrés en temps et en heure, et qui souvent ne remplissent qu’une faible part des attentes initiales.
Pour être le vecteur d’innovation souhaité, l’informatique doit s’industrialiser; elle doit se banaliser, devenir une commodité, c’est-à-dire un bien de grande consommation que tout un chacun peut consommer sans faire appel à du personnel qualifié pour le mettre en oeuvre.
Certes, la transformation a commencé il y a quelques années déjà, notamment avec la vulgarisation du « Cloud ». Mais après avoir automatisé ses moyens de production, le secteur informatique doit maintenant automatiser son modèle de commercialisation.
Prenons comme exemple ses caisses enregistreuses en libre-service qui prolifèrent actuellement dans nos super- marchés. Idéales pour la gestion des files d’attente et la satisfaction des clients. Idéales aussi pour les supermarchés qui peuvent ainsi assurer un plus grand débit tout en réduisant le personnel aux caisses.
Couteuses, complexes, et nécessitant une intégration avec la gestion des stocks, des fournisseurs, la comptabilité générale, la comptabilité analytique, la gestion des établissements bancaires et financiers, ses caisses la font l’objet de projets informatiques avec un investissement financier en amont, et un investissement temps accaparant les spécialistes métiers au détriment de leurs tâches premières.
Pour transformer ces caisses-là en une commodité informatique, il faut que les commerces de moindre taille puissent les « consommer » de façon plus aisée. C’est à dire remplacer le projet informatique par un contrat clé en main avec une mise en service intégrée dans le contrat et ne nécessitant ni des apports financiers importants en amont, ni des investissements en temps et en efforts conséquents.
Organisé autour de composants et modules informatiques, ce supermarché de l’informatique de commodité – le « prêt à consommer », vise un portefeuille de solutions sectorielles à l’intention des PME. Des solutions où l’informatique n’est pas la finalité, mais bien l’outil. Des solutions qui intègrent l’outil informatique, mais aussi les autres produits et services nécessaires dans la mise en place d’une solution métier.
Ainsi par exemple la solution de comptabilité simplifiée de MCA Concept. Une solution clé en main pour les TPE et les PME qui permet non seulement de disposer d’une solution informatique de comptabilité générale et analytique, mais qui accommode également les prestations de saisie d’écritures, de déclarations officielles dont la TVA et d’expertise comptable. Le moteur de la solution de MCA Concept étant un ERP complet, la solution devient évolutive et permet à l’entreprise de grandir sans se préoccuper du back office.
Le modèle Décathlon enfin appliqué à l’informatique. Telle est la promesse de cette nécessaire évolution depuis une informatique dédiée orientée projet, vers une informatique de commodité à l’intention des entreprises de toutes tailles et pour tous les budgets. Témoins de cette évolution le savoir-faire combiné de Gérard Dominati et de MCA, banalisant les nouvelles technologies au profit de solutions métiers immédiatement opérationnelles.