Les 3 piliers pour être heureux à son travail !

15 août 2017

Les 3 piliers pour être heureux à son travail !

Le bonheur au travail ne se décrète pas. On peut tout juste aspirer à le connaître. Les entreprises comme les salariés cherchent des solutions pratiques pour atteindre cet objectif ambitieux. Et si il n’existe aucune stratégie « prête à l’emploi », cette quête nécessite toujours la recherche de 3 éléments fondateurs :

  • 1.Le sens à donner au travail
  • 2.Le travail en équipe, la nécessaire organisation des relations humaines
  • 3.Le travail, un facteur parmi tant d’autres dans la quête du bonheur.

Trouver du sens à son travail, un premier pas vers le bonheur

La recherche de sens dépasse la simple valeur économique du travail. Cette quête sert à la motivation du salarié, qui doit pouvoir identifier les objectifs de son travail mais aussi en partager les valeurs. Certes, il n’est pas toujours aisé d’être en parfaite et totale adéquation avec les stratégies de son entreprise, mais la conciliation des propres valeurs du salarié avec les objectifs de son entreprise représente un des moyens d’atteindre ce bonheur au travail.

Non seulement, la finalité du travail accompli permet au salarié heureux de se reconnaitre dans le but poursuivi, mais il en tire également un sentiment d’appartenance en en partageant l’esprit général.

Le travail en équipe, un aspect social pour réenchanter la nécessité laborieuse

Être heureux au travail passe aussi par la nécessité de trouver sa place au sein d’une équipe. Il ne suffit pas de partager les valeurs de son employeur pour que le quotidien soit agréable à vivre. Au contraire, les relations cordiales au travail représentent pour une grande part des salariés l’un des fondements de ce bonheur de travailler. Ces relations apaisées concernent aussi bien les contacts existants au quotidien au sein de l’entreprise elle-même mais aussi les liens pouvant unir chaque collaborateur aux partenaires extérieurs, voire même aux fournisseurs de l’entreprise.

La convivialité se substitue alors au stress lorsque les relations internes sont une priorité pour l’entreprise, et on comprend mieux alors les efforts déployés pour renforcer les liens unissant les équipes, voire pour en créer de nouveaux entre des services différents.

Le travail, une activité parmi tant d’autres ?

Être heureux au travail ne suffit pas pour être heureux tout court, et l’activité professionnelle de chacun ne représente qu’une partie seulement de son existence. Certes, le stress et le mal-être au travail rendent difficile tout épanouissement personnel, une fois les portes de l’entreprise refermées, mais l’inverse n’est pas aussi évident. En clair, le bonheur au travail doit s’inscrire dans une ambition plus vaste et permettre aussi un épanouissement dans tous les autres aspects de sa vie. Concilier vie professionnelle et vie personnelle, ne pas conditionner la réussite professionnelle aux dépends de sa vie sociale, …

Les entreprises ont compris cet aspect universaliste du bonheur, en accompagnant leurs salariés à consacrer du temps à d’autres actions philanthropiques, culturelles ou humanitaires. Il ne s’agit plus d’opposer chacune des activités d’un même individu mais bien de tout faire pour que chacun de ces domaines participe à cette quête du bonheur.

Sylvie Aubry

La rédaction

redaction@monde-economique.ch

 

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