Photos © TerrAvocats
Par Valérie Macquet
Le professionnalisme des associés de l’Etude TerrAvocats n’a d’égal que la profondeur de leur engagement envers les droits de l’homme et la protection de la nature. C’est ainsi… C’est l’ADN même de l’étude ! Avec son potager en terrasse et sa charte en faveur de l’environnement, ce cabinet « nouvelle génération » fondé en 2019 réinvente ainsi le monde juridique ; en s’engageant à le faire rimer avec « éthique ».
TerrAvocats est aux antipodes de l’esprit des grands cabinets américains décrit par John Grisham, auteur de bestseller juridiques des années 90. Les personnages, dévorés par l’ambition et dénués de toutes valeurs morales évoqués dans « La Firme », sont en effet à l’opposé des membres de la petite équipe qui, au sein de TerrAvocats travaillent sans rivalité, dans le partage et la sérénité…
L’étude est composée de 6 avocats dont les trois fondateurs Malika Belet, Youri Widmer et Anna Zangger, cette dernière étant active uniquement en droit de l’environnement, qui ont été rejoints par Julien Chappuis et Olivier Burnet en décembre 2019, puis par Elodie Gallarotti en septembre 2020; formant ainsi une équipe qui se distingue par ses aspects pluridisciplinaires, paritaires et intergénérationnels ! Ils accueillent leurs clients – entreprises ou particuliers, y compris bénéficiaires de l’assistance judiciaire – dans leurs locaux lumineux de la vieille ville de Lutry, ou au sein de l’Etude de Genève, où œuvre Me Sandy Zaech.
L’environnement de travail, à deux pas du lac est à l’image de ce que prône TerrAvocats : la défense de tout un chacun, dans un cadre apaisé et protégé.
Les membres de TerrAvocats conseillent leurs clients dans des domaines aussi variés que le conseil aux entreprises, l’aménagement du territoire, le droit de la famille, la protection de la nature et de l’environnement, le droit des étrangers ou encore le droit pénal.
Les associés sont riches de leurs parcours individuels et mettent leurs expertises respectives au service du collectif, tout en défendant bec et ongle, les valeurs qui leur sont communes : le respect des droits de l’homme et la défense de l’environnement.
Cette fibre écologique est d’ailleurs si forte qu’elle a amené Youri Widmer à s’engager par un « mandat pro bono* » dans une affaire qui a bénéficié d’un retentissement international… Celle de ces douze activistes climatiques, jugés pour avoir joué une partie de tennis dans les locaux de Crédit Suisse.
Leur acquittement au-delà de représenter un verdict entré dans l’histoire, a marqué un tournant écologique majeur ; celui d’un juge, Philippe Colelough, qui a retenu « l’état de nécessité licite » dans lequel ont agi les militants. Au vu d’une « urgence climatique indéniable », il a ainsi estimé que les jeunes activistes avaient mené une opération « nécessaire et proportionnée ». Jolie victoire pour la planète, qui a pourtant été remise en cause par le verdict de la Cour d’appel pénale, ayant décidé de condamner les jeunes activistes. La suite de la partie se jouera auprès du Tribunal fédéral.
Les engagements sans faille pour protéger la nature ne sont pas contradictoire avec la modernisation des équipements de TerrAvocats, qui lui permettent de travailler efficacement à distance réduisant ainsi au quotidien son emprunte carbone. C’est également ainsi que le cabinet est parvenu, durant le confinement lié à la Covid – 19, à assurer un suivi rigoureux de tous ses dossiers. L’activité du cabinet n’a jamais cessé, en dépit des reports d’audiences, et à repris de plus belle depuis le mois de juin 2020.
* Pro bono est l’abréviation de la locution latine « pro bono publico », signifiant « pour le bien public ». Le « pro bono » désigne l’engagement de volontaires qui donnent un sens à leur activité en s’impliquant dans des initiatives d’intérêt général à titre gracieux
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